Archive pour la catégorie ‘日本に行きました’

« Dernière ligne droite» 

Dimanche 16 août 2009

Tiens, ce post porte le même nom qu’un de mes editos du PI de cette année ^^

Bon, on arrive vers la fin de mon séjour à Kinugawa, les autres français partent demain (eux ne restent que 4 semaines) nous laissant seuls abandonnés à notre triste sort. La fréquentation de l’hôtel devrait aussi diminuer graduellement, et de toute façon, le dit hôtel a engagé une armada de serveurs japonais pour nous remplacer. On commence à être suffisamment a l’aise au boulot pour esquiver certains postes trop chiant (en sachant où se rendre utile ailleurs, principalement).

Je me suis fait inviter par le barman du resto completement bourré (le barman, pas le resto) que j’ai croisé lors d’un squat sauvage d’un wifi gratuit au Karaoké pendant une heure et demie, c’est toujours sympa.Puis ça a changé le style habituel de chansons de la maison. Je pense que y avait pas eu beaucoup de Beatles, de Rolling Stones ou de Franz Ferdinand dans ce karaoké depuis pas mal de temps… Ca et la bière qu’il m’a offerte, ça a fait une soirée sympathique…

A part ça,niveau wifi gratuits on continue de jouer aux gendarmes et aux voleurs, entre ceux qui se barrent précipitamment quand les flics arrivent, et ceux qui se font virer par les hôtels. Et toujours pas d’internet au notre, d’hôtel.

Tout ça pour dire que je vais bien, et qu’il ne se passe rien. Et c’est dit. Zapluss.

Mario Ware : Shake it !

Mardi 11 août 2009

Secouez-le, secouez-le, sinon la pulpe, elle reste en bas.

Tout secoué que j’ai été.

D’abord, Internet à l’hôtel, qui passe son temps à sauter. D’où la faible teneur en posts de ce blog actuellement. Après 2 jours de coupure continue, j’ai sorti ma baguette de sourcier (autrement appelée « baguette maugique » ou, dans ce cas, carte wifi), pour partir à la recherche des « free spots » du coin. Parce qu’il y en a, et pas qu’un peu. Normal, dira-t-on, de trouver des sources de « hot spot » dans un spot aussi réputé pour ses sources chaudes. Et, pour le coup, on y trouve des réseaux qui le tiennent (le coup), eux. Me voila donc, accompagné de l’un de mes fidèles camarades, sagement assis contre un muret derrière lequel une accueillante borne wifi non protégée embrassait notre détresse world-wide-wébèsque en offrant un ping très acceptable à nos requêtes TCP, compulsant mon courrier électronique, lorsque surgit la moitié de l’effectif des forces de police de Kinugawa, tout seul sur son scooter. Le policier nous passe devant et s’arrête, descend de son imposant engin de traque, et s’avance vers nous, le regard fier du héros du peuple qui vient mettre fin aux actions criminelles de toute une bande de deux jeunes qui saccagent tout (à savoir, la beauté du paysage) par leur présence et agressent les pauvres passants sans défense (i.e., huit semaines n’a pas suffi à nos pigments dermiques pour caméléoniser la couleur locale, et le litre quotidien de jus de citron dans les yeux n’a apparemment pas l’effet de bridage escompté). Le représentant de l’Ordre nous soumet alors à un interrogatoire précis en vue de savoir ce que nous faisions ici (« l’un de nous est de trop dans cette ville, el Gringo »), où nous lui avouons que nous ne restons pas plus d’un mois ici pour faire du tourisme uniquement, ce qu’il n’aurait pas gobé dans la mesure où 99.9% des visiteurs de Kinugawa restent 24h tout au plus dans la « ville ». N’ayant pas nos passeports sur nous (obéissants petits scarabées, nous les avons laissé dans le coffre fort de notre chambre tel que demandé par le Directeur des Affaire Générales (as known as « Le Malaysien ») à notre arrivée. Le sauveur de la veuve et de l’orphelin nous laisse repartir, nous sans nous avoir expliqué que les wifis gratuits et non-sécurisés que nous captions n’étaient pas libres, et que nous n’avions pas le droit de les utiliser.

Tout secoué, j’ai encore été, une demi-heure plus tard, lorsque la totalité de l’effectif de Kinugawa frappe à la porte de ma chambre, guidée par Le Malaysien, m’indiquant que je suis cerné et me sommant de bien vouloir me rendre et apporter mon passeport aux Forces de l’Ordre, ce en quoi je fus contraint d’opérer. Les deux hommes aidés par Le Malaysien mettent alors (martel) en tête de tenter de recopier le numéro dudit passeport ainsi que mon nom, ce qui fut un retentissant échec, les obligeant à se tourner vers leur plan B, la feuille des employés temporaires de l’hôtel contenant nos noms en Katakana. Avec des fautes d’orthographe. Ce après quoi, Le Malaysien nous a sermonnés pour ne pas avoir utilisé l’accès Internet de l’hôtel. L’information que nous aurions bien voulu utiliser celui-ci, puisqu’il a l’avantage d’être en intérieur et à proximité de canapés accueillants, mais que nous étions dans l’impossibilité de le faire du fait qu’ils étaient dans l’impossibilité de faire fonctionner correctement leur routeur, l’a rendu perplexe mais ne l’a pas empêché de nous répéter l’interdiction d’utiliser d’autres accès internet que celui de l’hôtel. Pauvre, pauvre policier qui a du vérifier la correspondance dans sa base de données d’un numéro de passeport probablement mal recopié ainsi que celle d’un nom écrit en alphabet latin avec un nom erroné en katakanas. Ca lui prendra probablement tellement de temps qu’il devra peut-être remettre à plus tard son Sudoku, voire sa pause thé.

Tout secoué, j’ai, à nouveau, été, moi ainsi que l’intégralité de la cuisine dans laquelle je travaillais à la filière vaisselle lors du tremblement de terre, avant-hier. Le premier que j’ai ressenti depuis mon arrivée sur le sol de la contrée aurorèsque. Le « Jishin » fut à cet endroit d’intensité 4 sur l’échelle japonaise (qui n’est pas l’échelle de Richter). Pendant 5 secondes, le sol a tremblé (suffisamment peu fort pour que la plupart des gens trop occupés ne le remarquent pas), le haut des meubles à tremblé en opposition de phase (à gauche quand le sol était à droite et vice versa), et c’était fini. Il a été ressenti beaucoup plus fort à Tokyo, d’après les informations que j’ai pu avoir. Heureusement que le Centre de Prévention des Catastrophes m’a appris à réagir de façon adéquate : en effet, j’ai parfaitement suivi ses conseils qui disaient de se cacher sous la table avec un coussin sur la tête, puisque j’ai continué de faire la vaisselle comme si de rien n’était, en pensant très fort à aller me cacher sous une table avec un coussin, une couette et un matelas pendant une heure ou deux, et quelques secondes plus tard, j’étais toujours vivant.

Tout secoué, j’ai été de pouvoir refaire à nouveau l’あんあい le soir. En effet, après demande expresse, le suprême privilège de pouvoir laisser la vaisselle à quelqu’un d’autre nous a enfin été accordé. Mais pour combien de temps ? Vous le saurez dans le prochain épisode des « Feux de l’あんあい » !

Pom polom, comme dirait l’autre.

À plus !

PS: Ce post a été posté depuis un autre wifi gratuit mais un peu mieux caché, cette fois-ci.

Mon royaume pour une machine à laver !

Vendredi 7 août 2009

Bon, tant que mon serveur sera éteint à Centrale, le blog continue un peu ici.

Au passage, pour cause de spam latent, j’ai viré tous les commentaires et changé d’anti-spam là-bas. Mais vous pourrez relire vous anciens commentaires quand on repassera sur Ping. Vous pouvez évidemment en poster des nouveaux.

Quoi de neuf, sinon, depuis le temps ?

L’あんあい, le fait d’emmener les clients à leur tables, c’est en train de devenir une vraie comédie. En gros. Le matin c’est plus facile que le soir. Le patron du resto serait pour qu’on le fasse que le matin. Mais le soir c’est pas si dur, et faudrait qu’on lui demande officiellement de nous montrer comment ca se passe le soir. Le problème c’est que y a une conne qui nous aime pas et qui fait tout ce qu’elle peut pour qu’on reste hors de la salle, en colportant des conneries sur nous dès qu’on en as l’occasion. Heureusement qu’on a d’autres étages de la hiérarchie un peu moins stupides et l’occasion de discuter un peu avec des gens qui peuvent transmettre des messages. Mais c’est sans compter que le directeur du groupe Okabe vient parfois manger au resto et qu’il faut que ce soit impec (i.e. sans nous). Et notre chef direct n’est pas au courant que les autres étages de la hiérarchie ne veulent pas qu’on le fasse le soir, oubliè-je de préciser.

Dans cette hystoire de fous, on réussit tant bien que mal à le faire de temps en temps, avec les plus grandes difficultés du monde. Ce qui me permet d’échapper à mon autre boulot, la filière vaisselle. En effet, depuis qu’on a changé de resto, j’ai réussi à esquiver Futari à chaque fois. Je me suis spécialisé dans l’essuyage de couverts qui est devenu la filière vaisselle entière. Ça correspond à tremper, frotter, rincer, essuyer, trier, et disposer joliment tout ce qu’on nous refile. Il faut savoir qu’une partie de la vaisselle sale des clients n’est pas emmenée à la plonge mais lavée sur place. C’est le cas des couverts, et de la plupart des éléments en métal ainsi que les choppes de bière et la plupart des verres bizarres. Si j’en crois l’article Wikipedia sur les Onsen, c’est de l’eau chaude où rentre dedans, et il y a entres autres du fer dedans. Ben ça correspond bien à la plonge. À la différence que le savon est autorisé (et même conseillé) dans l’eau. Et donc tous les soirs, maintenant, je retrousse mes manches, et on se fait (habituellement à deux personnes) les 2000 couverts divers. J’envisage de prendre mes congés par demies-journées, les soirs uniquement la semaine prochaine, pour esquiver un maximum de vaisselle.

Sinon, au resto, ils passent un seul et unique CD à tous les repas (ce qui est bien suffisant puisque l’immense majorité des clients ne fréquente le resto que 2 fois 45 minutes), et ce CD, c’est les plus belles musiques de Disney au xylophone. C’est pas que « Can you feel the love tonight»  au bout d’un moment ça finisse par peser, mais en fait si. Bientôt, on trouvera quelqu’un qui puisse nous dire comment s’appellent les 7 nains en japonais. (エホ、エホ、オン ランチュレ ヅ ブロ!).

Je m’amuse à faire des pistes DDR pour les initiations à la rentrée. J’essaie de faire ça sur des chansons qui feront pas fuir les gens normaux. J’ai déjà fini une piste en 4 modes de difficulté. Ça demande quand même pas mal d’imagination pour pas toujours refaire la même chose…

I can’t wait for the week-end to begin, comme dirait l’autre, ça tombe bien c’est le cas.

Congééééé !

Clic clac kodak

Mercredi 15 juillet 2009

Allez, quelques photos de là où c’qu’j’habite.

Voilà la photo d’une des premières choses qu’on voit en sortant de la gare. Dans à peu près toutes les directions, les montagnes sont à peu près comme ça.
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Voilà l’hôtel qui a l’honneur de m’employer. C’est écrit dessus Hoteru Nyouu puis Oka-be en 2 kanjis (dont le 2e semble finir par un B).
Voilà la résidence où on dort. C’est écrit la même chose, bâtiment ouest. Je suis au 3F (donc 2e étage français)

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Voilà ma chambre. Exiguë (ah, on n’a pas tous les jours l’occasion de le placer, ce ë)

À part ça, j’ai commencé à bosser hier soir. Pour mes deux premières demi-journées de boulot, comme le directeur de je-sais-pas-trop-quoi mangeait ici, on a été relégué dans l’autre resto.

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Ça c’est le petit déjeuner. On a aussi fait le dîner hier soir. Faut s’imaginer un dîner à 100.000円 (en fait 250 dîners) à disposer en 1h : une vingtaine de plats, ustensiles divers et autres à poser, placer, orienter (le poisson doit toujours regarder dans la bonne direction …), suivi de quoi on a « いらしゃいませ» -é pendant 30 minutes, et on est allés ranger tous les plats qui revenaient plus ou moins vide. J’ai jeté des sashimi au thon rouge :’( .

Ensuite, quand tous les clients sont partis, on est revenus dans la salle finir de débarrasser, tout nettoyer, et commencer à préparer pour le petit-dej du lendemain. Qu’on a fini de préparer le lendemain (aujourd’hui) à partir de 6h30. Bis repetita. Sauf que ce coup-ci on a tout débarrassé depuis les tables directement.

À partir de cet aprèm (16h), on commence le « vrai»  boulot qu’on devrait faire pendant 6 semaines. En attendant, pendant au moins 6 semaines de ma vie, je bosse a des horaires plus incongrus que ma maman : Fini a 22h, repris a 6h30, 5 jours par semaine :p . On va vite développer un cycle bijournalier sur 12h composé de 5h de travail, 4h de sommeil, 3h d’activités annexes (type manger).

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Posté depuis ma chambre

Lundi 13 juillet 2009

Un bonheur de courte dur–

La montagne, ça vous gagne !

Lundi 13 juillet 2009

Me voila donc installé dans le bâtiment des employés du New Okabe de Kinugawa. L’hôtel est très sympa. Les couloirs réservés au personnel un peu moins, mais on s’y retrouve. Y a moyen de se perdre facilement à mon avis. Ma chambre, dans un bâtiment en face, mesure au total 4m * 2,3m approximativement. Douche/baignoire/toilettes/lavabo compris. Au moins, j’ai une chambre pour moi tout seul et c’est sympa. La ville (enfin le village) est petite et très touristique mais plutôt sympa. Je commence à bosser demain soir. On a été présentés à un Français qui bosse ici depuis 1 semaine, ça a l’air relativement sympa (mais crevant). On bosse 10h par jour, du lundi au samedi avec un autre jour qu’on peut prendre par semaine. Les horaires sont 7h/11h, 16h/22h (approximativement, et ça c’est les heures de présence incluant nos repas). (Sur le papier,) on n’est pas payés. Mais on est nourris logés, blanchis. Les repas sont relativement bons. Dans la chambre, il y a (donc,) une baignoire, un frigo, une télé, la clim, une bouilloire, un coffre en plus des nécessités de base (un lit, un bureau, une chaise). On a une machine à laver et (maintenant qu’on a demandé) un fer et une table à repasser à notre disposition. Juste à acheter la lessive. Dans les salles de bain, on a même du savon et du shampoing. Vu que je suis dans une chambre en coin, j’ai 2 fenêtres, donc plus de lumière. Y a un réseau dans l’hôtel qu’on a le droit d’utiliser tant qu’on ne gêne pas les clients. Sinon, on a trouvé un wifi gratuit dont on cherche actuellement la source. Il porte presque jusqu’à nos chambres, il n’est pas impossible qu’on réussisse à trouver comment l’utiliser de nos chambres. Hier j’ai réussi à charger une page de Google avec, mais c’est tout. Le mec qui nous a reçus a l’air sympa, mais pour l’instant, on le connaît pas trop. On verra à l’usage.

La vue à Kinugawa, entouré de montagnes boisées est relativement splendide. À ajouter à la liste de photos qu’il faudrait que je poste ^^

PS : Le lien inutile du jour, pour ceux qui sont pas au 3C.

Gochi sō sama deshita !

Samedi 11 juillet 2009

Le repas s’est bien passé ce soir. La galette des rois, en fait, c’est pas dur à faire…

Aujourd’hui, on a eu remise de diplômes, avec journalistes et tout. Ça va être la 2e fois que je passe au journal. J’ai la photo pour la 1ere quand j’aurais du temps à l’occase.

Et j’ai reçu un bout de tatami … Super cadeau utile qui prend pas de place dans la valise. Ensuite une des 2 profs a organisé une fête pour nous chez elle. Très très sympa. On a bien mangé, pris plein de photos et échangé plein d’adresses e-mail. Si vous avez besoin d’une prof particulière de japonais dans le coin de Tokyo, demandez-moi !

J’ai dit au revoir a ma famille d’accueil qui m’a offert 2 T-Shirts Pac-Man de la fameuse collection d’UniQlo.

Demain, le grand départ numéro 1. J’aime pas les adieux. Je passe mon temps a dire au revoir à tout plein de monde en espérant que je les reverrai. 6.7 milliards, c’est beaucoup trop. 3000, ce serait mieux, quand même ^^

La fin est proche !

Vendredi 10 juillet 2009

Et oui, Dimanche, je quitte Tokyo pour les montagnes et le boulot. Derniers cadeaux, cartes postales. Et un dîner Français à préparer demain. Et l’impression d’avoir oublié des tas de choses, mais ça, je commence à avoir l’habitude^^.

Au passage, qu’est-ce qu’il y a comme gâteau sympa qui soit français et sans chocolat ? Peut-être une tarte aux pommes…? Le plus dur c’est les ingrédients… Je me tenterai bien une galette des rois… Ça dépendra si j’arrive a trouver de la pâte feuilletée et des amandes. Autant la pâte, je veux bien la tenter à la rigueur (Edit : oupa), autant les amandes je les inventerai pas. Je n’esquiverai probablement pas le passage obligé des crêpes, par contre. Puis il faut que je me trouve une recette de salade niçoise. Enfin, y a peut-être moyen d’adapter la recette de la quiche lorraine pour la rendre moins quichlorrainesque. L’avatage pourrait-être qu’ils aient la quiche et la salade en attendant leur crêpe salée et le dessert quelqu’il soit en attendant la crêpe sucrée. J’espère qu’ils m’aideront.

Aujourd’hui, je suis arrivé a Tokyo à 6h du mat, j’ai (mal) dormi dans le bus. pour le dernier cours, on a (mal) chanté en japonais. Et j’ai (mal) aux pieds. Mais Tokyo, c’est quand même super !

A Kyoto, j’ai vu le palais impérial, le musée du Manga, la pagode en or et le jardin zen. Je crois qu’ils ont rechargé la Matrice pas mal de fois, vu que je passe mon temps a avoir des déjà-vus… J’étais logé au « Kyoto cheappest inn» . C’était relativement correct, si vous aimez dormir dans un dortoir et avoir trois étages a descendre pour prendre une douche, mais pour une nuit, c’était bien. Puis on aurait pas pensé à aller au Onsen sinon.

Pense-bête

Mercredi 8 juillet 2009

Parler de :

  • L’esalade du Fuji  que je n’ai pas faite
  • La visite de ma môman Centralienne
  • Kyoto (so far so good), including :
  • Le palais avec le parquet rossignol
  • le onsen « à la japonaise»  ^^
  • etc.

Ce sera pour quand j’aurais le temps. Pour l’instant,la temperature de mon corps a joué au yoyo pendant 1h (super agréable) et je voudrais aller dodoter.

Seeya !

Today is a good day todaï

Dimanche 5 juillet 2009

Ce matin après avoir complètement oublié la démonstration de Kendo qui était organisée à l’arrache, j’ai réussi à avoir in extremis l’heure et le lieu de rendez-vous pour la rencontre avec les étudiants de Todaï. À savoir 1h plus tard à 1h30 de trajet de là. En fait, le rendez-vous avait été repoussé de 30 minutes, et les autres étaient 15 minutes en retard sur le rendez-vous repoussé, donc je suis arrivé à l’heure et 15 minutes avant tout le monde. On a visité Todaï, donc, puis un musée à Asakusa, avant d’aller avec les étudiants à Akiba. On s’est séparés en niveau d’otakisme pour qu’ils nous fassent visiter en plusieurs groupes (le « guide»  de mon groupe de 4 personnes connait le patron d’un des grands magasins très otaku de Akiba, j’ai son mail, si vous cherchez un stage). Ensuite, on s’est regroupés, reséparés et ils nous ont emmené dans un Maid Café. Celui-ci était ambiance calme, façon période géorgienne, les maid habillés en noir et blanc avec des robes jusqu’aux chaussures. Ça ressemble toujours pas à la description wikipedia si inspirée^^.

Le type qui a organisé a eu son diplôme et ouvert un café en face du campus, dans lequel il organise des débats, ce genre de trucs. Il est sur un projet d’essayer d’encourager les entreprises japonaises à prendre des étudiants de grandes écoles comme stagiaires en échange qu’ils leur fassent un audit, forts des différences culturelles qui peuvent apporter, leur permettant d’identifier les points forts de l’entreprise dont elle n’est pas consciente, ou un truc comme ça.

Très sympa en tout cas.

Demain, reprise des cours.